22 avril 2009

Un magicien, Fanch Guillemin

Fanch Guillemin, un passionné, un magicien, un grand voyageur... , dit " Professeur Fanch " est un magicien atypique. Surtout, il est L'HISTORIEN MAGIQUE français par excellence. Méconnu du grand public et même des magiciens, Fanch est l'auteur de nombreux ouvrages historiques passionnants sur l'histoire de la magie.

Grand voyageur, chercheur infatigable, magicien "du bout du monde", ses recherches sur Robert-Houdin et son époque lui ont attiré les foudres d'autres personnalités magiques. Et pourtant, ses hypothèses sur cette période de la magie française, établies à partir de recherches sérieuses et rigoureuses sont à mon avis très recevables...


Professeur Fanch, contrairement aux magiciens et illusionnistes des années 60, a vraiment été prof. Sa passion pour la magie blanche l'a conduit chez les Papous et les Pygmées. Il publie «Magiciens d'Argoat et d'Armor» à l'occasion du prochain congrès français de l'illusion.


Fanch Guillemin a enseigné l'histoire-géo en France et le français au Sénégal, en Côte d'Ivoire, en Algérie et au Canada. Et partout où il est passé, Professeur Fanch a exercé ses talents de magicien et d'illusionniste, montré les nombreux tours qu'il a appris à maîtriser depuis sa plus tendre enfance. Tiré à quatre épingles, de la malice plein les yeux, toujours prêt à jouer des tours mais sans l'ombre d'une mauvaise intention, il a au cours de ses nombreux voyages bluffé les Pygmées, les Papous de Nouvelle-Guinée occidentale, les indiens d'Amazonie... «Une fois, ça a failli mal tourner, confie le magicien amateur brestois. C'était dans une tribu indienne du CostaRica, très isolée. Les sorciers, qui me facilitent les contacts parce qu'ils me considèrent comme l'un des leurs, étaient absents ce jour-là et j'ai eu tort de multiplier les billets de banque... Ça les a énervés. J'ai vraiment eu chaud!» Depuis qu'il est retraité de l'Éducation nationale, Fanch Guillemin a confié sa destinée artistique à la Ligue de l'enseignement. C'est elle qui se charge des contacts avec les écoles où il raconte l'histoire de la magie blanche, monte ses expositions, effectue quelques tours et scotche les enfants en jouant les ventriloques! «Je n'ai pas besoin de ça pour vivre, alors, je ne joue que pour les enfants des écoles de la région. Je donne aussi des conférences, avec quelques démonstrations, dans les universités du temps libre».

à suivre


20 avril 2009

Marées noires enterrées

Les marées noires enterrées durée : 12 mn
Un reportage de Stéphanie Brabant et Pierre Méheut
Une production France 3 - Thalassa

Charlotte Nithard, directrice de l’association écolo « Robin des Bois » enquête sur des fosses pas très claires de l’île d’Er, dans les côtes d’Armor. Ce bout de terre sauvage cache des marres visqueuses remplies de pétrole brut qui dorment là depuis 40 ans. Ces déchets mazoutés ont été déposés là après les naufrages du Torrey Canyon, de l’Amoco Cadiz et du Tanyo. Dépotoirs à ciel ouvert sur l’une des plus belles côtes de Bretagne.
Quatre-vingts sites de déchets mazoutés sont ainsi disséminés tout au long du rivage breton. Même l’état en a perdu la trace.
Il y a deux ans, « Robin des Bois » a porté plainte contre X pour abandon de déchets et pollution. Sous la pression de l’association, l’état a lancé un nouvel inventaire en septembre dernier. Résultats de l’enquête dans dix-huit mois. En attendant, Charlotte continue de pister les sites oubliés pour les évaluer et les cartographier. Quarante ans après les premières marées noires, elle se bat pour en retrouver la mémoire.

19 avril 2009

La voiture libre

Dans la famille des futurs objets libres je demande la voiture

« La route est longue mais la voie est libre » est devenu avec le temps le slogan de Framasoft. Certes, mais encore faudrait-il s’intéresser au futur véhicule qui nous portera loin sur ce chemin !

Né au pays de Rembrandt, le projet « c,mm,n » d’une automobile libre et écologique est sur le papier un possible candidat.

Difficile de dire si cela aboutira et sortira du concept pour se matérialiser et surtout se commercialiser. Mais l’idée est bonne, belle et innovante.

suite ....

Site officiel

et encore


16 avril 2009

Des voix, des femmes, des hommes... la vie quoi !!!

Étudiante en Lettres à la Sorbonne, Catherine Le Forestier est mannequin pendant quelques mois. Avec son frère Maxime, elle suit des cours de mime avec Wolfram Mehring, dans la cave du Vieux-Colombier. Au milieu des années 60, elle chante avec Maxime dans les bistrots de la Contrescarpe. Ensemble, ils écrivent des chansons et rencontrent Georges Moustaki, qui n'a pas encore enregistré Le métèque. Celui-ci leur donne des chansons qui influenceront leur manière d'écrire. En octobre 1966 paraît chez Barclay le premier super 45 tours du duo Cat et Maxim (direction musicale François Rabbath) qui contient Le facteur, une chanson de Moustaki et Manos Hadjidakis. Un deuxième 45 tours est publié l'année suivante (chansons de Johnny Rech, Eric Charden). À la même époque, elle participe à la pièce d'Antoine Bourseiller, Oh America.

Faute de succès, le duo se sépare et il faudra attendre l'année 1969 pour que Catherine puisse enregistrer un 30 cm chez Philips. Sur cet album intitulé « L'amour avec lui », elle chante La petite fugue, Ta femme, L'amour avec lui. L'année suivante, Moustaki, devenu vedette, la fait passer en première partie de son spectacle à Bobino. Ensemble, ils chantent Eden blues, une chanson écrite pour Piaf (Bobino 70). En 1971, c'est la consécration : Catherine remporte le grand prix du festival de Spa avec Au pays de ton corps, « élégie rare du corps masculin » (Cent ans de chanson française), chanson qui donne son titre au nouvel album publié sur le label Fontana, avec cette mention « Les textes des chansons n'engagent que leurs auteurs »... Outre la chanson-titre, Catherine chante Allez voir mes voisins, chanson antiraciste (qui sera utilisée dans le film de Med Hondo, Les bicots-nègres, vos voisins) et, surtout, Parachutiste, pamphlet antimilitariste écrite par Maxime (et qu'il enregistrera sur son premier album en 1972).

Avec l'argent du prix de Spa, les deux s'envolent pour les États-Unis. Ils résident six mois à San Francisco dans une « maison bleue », avec des amis musiciens. Ce séjour inspirera directement son frère (San Francisco). À leur retour, Maxime signe chez Polydor et fait paraître son premier album. Très vite, il devient le chanteur-phare de la génération d'après 68. Catherine, elle, rompt avec le showbiz. Elle part s'installer au Maroc, à Marrakech, devient Aziza. Avec le jazzman Steve Potts, le poète anglais Heathcote Williams et des musiciens africains et berbères, elle fonde le groupe Babel qui, vingt ans avant la vogue de la world music, tente de brasser les cultures et expérimente la vie en communauté. Babel tourne à travers l'Europe. Un disque anonyme (personne n'est crédité sur la pochette), publié en 1976 chez Philips, témoigne de cette période riche d'expérimentation. Rentrée en France, Catherine participe avec son frère au spectacle de Graeme Allwright au Palais des Sports (double 30 cm Mercury) et enregistre un nouvel album, « Music of Aziza » (1980), suivi, l'année suivante, de « S.O.S. », son dernier 30 cm, à ce jour. En 1987, elle enregistre (45 tours Adès) une chanson pour enfants (Dans le ventre de maman), extraite d'un conte musical écrit et joué par elle. Malgré un passage à Paris, à la Vieille Grille, en 1981, Catherine Le Forestier se fait discrète.


15 avril 2009

Football philosophique - Grèce / Allemagne

C'est trop !!!

Nous y sommes !



Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes.
Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance.

Nous avons chanté, dansé.

Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine.
Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.
Franchement on s'est marrés.
Franchement on a bien profité.
Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.
Certes.
Mais nous y sommes.
A la Troisième Révolution.
Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie.

« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.

Oui.

On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.
C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies.

La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.
De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau.
Son ultimatum est clair et sans pitié :
Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse).
Sauvez-moi, ou crevez avec moi.
Evidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux.
D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance.
Peine perdue.

Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, (attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille) récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés).
S'efforcer. Réfléchir, même.
Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.
Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.
Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.
Pas d'échappatoire, allons-y.

Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.

Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible.
A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie, une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut être.
A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.
A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.

Fred Vargas
Archéologue et écrivain
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14 avril 2009

Un vélo pour rouler écolo, une bicyclette pour se déplacer moins bête...


Elisa, 27 ans, a acheté un vélo pour rouler écolo.

Un vieux biclou qui fait un bruit bizarre.

Une voix, des sons, une ode d'amour à son vélo.

Nom d'une pipe



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Tous aux abris : le principe de précaution a encore frappé ! On n’en finit pas de dénombrer ses ravages. Cette fois encore, le tabac. Du moins le croit-on, parole de non-fumeur. Les tenants de la nouvelle tyrannie viennent de couper la chique à Jacques Tati. Ils lui ont retiré sa pipe, laquelle était vissée entre ses dents depuis sa naissance ou presque. Imagine-t-on Georges Simenon sans sa pipe ou Humphrey Bogart sans sa clope ? Impensable tant l’appendice à volutes fait partie de leur personnage. C’est ce crime contre l’esprit dont vient d’être victime l’immortel auteur de Playtime. Un méchant gag dont il serait le premier à rire même si, dans sa satire de notre vie moderne dans ce qu’elle a de plus absurde, il n’aurait jamais imaginé qu’on en arriverait là.

Reprenons le dossier de l’affaire. Depuis des mois, la Cinémathèque française préparait une grande exposition « Jacques Tati, deux temps trois mouvements » qui vient d’ouvrir ses portes (jusqu’au au 2 août). Une étonnante reconstitution de son univers à travers une réunion d’objets, d’images, de signes, de dessins, de journaux à ne pas rater. Sur les affiches promotionnelles comme sur la couverture du livre-catalogue (45 euros, 304 pages, naïve), un même pictogramme extrait de Mon Oncle : le bonhomme Tati fier et droit sur son Solex revêtu de son uniforme hulotissime : pantalon et imperméable trop courts, le chef coiffé d’un galurin et la bouche prolongée de sa pipe. Or les services juridiques de la Ratp et la Sncf ont cru bon de retoquer l’affiche au motif qu’elle risquerait de contrevenir aux dispositions de la loi Evin sur l’incitation au tabagisme (« …propagande ou publicité, directe ou indirecte, sont interdites… »). Fumant, non ?

Il n’y a pourtant pas de jurisprudence en la matière puisque les choses n’ont jamais été aussi loin. Juste un excès de prudence qui a scandalisé toutes les parties concernées. En vain. Costa-Gavras, le président de la Cinémathèque, monté au créneau pour empêcher qu’il ne fasse tache d’huile, a d’emblée prévenu qu’il n’était pas question que les mêmes affiches, hors des couloirs du métro et des bus, soient concernées par la mesure, sans même parler de la couverture du
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catalogue ou des publicités dans les journaux. « C’est d’autant plus bête que dans ses films, la pipe de Tati n’était jamais allumée !renchérit Macha Makeïeff, son ayant-droit moral et commissaire de cette exposition. Une censure absurde et stalinienne car c’est chez lui, de son temps qu’on trafiquait ainsi les photos. Ce qui aboutit à un mensonge. Résignée, je leur avais proposé de remplacer l’objet maudit par une croix rouge mais on devinait encore trop la pipe. Alors j’ai proposé de la remplacer par un calligramme, une pipe faite de lettres, sur lequel on pouvait lire : « Ceci est une pipe ». Refusé. Je lui ai donc mis un petit moulin à vent entre les lèvres. Juste pour prendre le métro et le bus ! ». Rassurez-vous : elle figure bien en couverture sur le le catalogue, de même que sur celle du Tati (268 pages, 40 euros, Ramsay) de Marc Dondey et dans les pages des Vacances de M. Hulot (128 pages, Editions Yellow Now) où Jacques Kermabon analyse le film image par image.

Il y a quatre ans, la Bibliothèque nationale de France avait déjà cru bon gommer la cigarette que Jean-Paul Sartre tenait entre les doigts sur les affiches et la couverture du catalogue de son exposition ; et en 1996 déjà, Malraux essuyait les plâtres de cette fâcheuse tendance, la Poste lui ayant supprimé la cigarette sur le timbre reproduisant son fameux portrait cheveux au vent par Gisèle Freund. Les frileux de la Sncf et de la Ratp peuvent encore agir ce qui se passe chez eux, cela n’empêchera pas l’exposition Tati de présenter une gigantesque pipe de cinq mètres vissée sur un socle sur lequel on peut lire « Libertaire ». Un objet prévu et conçu bien avant, naturellement. Comme si de là-haut, M. Hulot sentant le vent venir, avait adressé un pied-de-nez bien dans sa manière aux nouveaux censeurs de l’ordre moral. Les pires : ceux qui réagissent dans la peur et par anticipation. Nous ne serons jamais assez reconnaissant à M. Hulot de nous avoir appris à vivre en faisant un pas de côté de manière à envisager la société avec ce léger décalage qui la rend tellement plus vivable.

Les films de Jacques Tati nous renvoient le reflet d’une certaine France qui n’existe plus, toute de poésie, de légèreté et d’insouciance ; cette “affaire Tati” nous renvoie, elle, l’image d’une autre France, crispée, étriquée, réglementaire, qui existe trop.

Ouest-France du 17 avril 2009
La réaction de Claude Évin

Dans le cadre d'une campagne d'affichage consacrée à Jacques Tati, la régie publicitaire de la RATP a été obligée de supprimer la pipe du célèbre cinéaste la remplaçant par un moulin à vent, et ce en vertu de la loi Evin contre le tabac. Une décision ridicule qui suscite un début de polémique.
Sur la photo originale, le réalisateur de Mon oncle circule sur un Solex, une pipe à la bouche, un enfant assis sur un siège arrière.
"La loi c'est la loi", explique la RATP en référence à la loi Evin de 1991 qui proscrit la publicité pour le tabac tout en regrettant de ne pas avoir été consultée par sa régie avant cette modification et de "découvrir la polémique".

Bachelot opposée à cette modification

Dans un communiqué la régie publicitaire Métrobus affirme s'être bornée à une application scrupuleuse de la loi en vigueur.
Roselyne Bachelot est quant à elle opposée à cette transformation du cliché qui sert de support à la campagne pour une exposition à la Cinémathèque française. "Ah non, moi, je ne suis pas pour enlever la pipe à Jacques Tati !", a répondu jeudi à des journalistes la ministre de la Santé.

Gérard Audureau, président de l'Association "Droits des non-fumeurs", est partagé."Je ne peux pas condamner sans pour autant cautionner cette retouche", explique-t-il.
Il estime que l'on doit prendre en compte le "point de vue historique" pour ne pas bannir l'objet du délit.
Les déclarations de la ministre et de M. Audureau "réjouissent" Métrobus qui y "entrevoit la possibilité d'un assouplissement de la loi Evin".
Le précédent Sartre

En 2005, un débat similaire avait eu lieu après que la Bibliothèque nationale de France eut jugé bon de supprimer le mégot que tenait dans la main le philosophe Jean-Paul Sartre sur une photo utilisée pour la couverture du catalogue de l'exposition.